top of page

Delivery Man : une idée de film « détente » pour les vacances (3/5)

Réalisé par Ken Scott, avec Vince Vaughn, Chris Pratt et Cobie Smulders.

Les situations délirantes sont clairement au rendez-vous !

Un bon film détente.


La semaine commence plutôt mal pour David Wozniak. Tout d’abord, il doit la somme de 100 000 $ à un prêteur peu recommandable, sa copine le lâche en lui annonçant qu’elle est enceinte et pour couronner le tout, un avocat se présente à lui avec une nouvelle des plus déconcertantes. David Wozniak est le père biologique de 533 enfants. En effet, 20 ans plus tôt, David donnait régulièrement son sperme (d’une grande qualité, selon l’avocat) à une clinique. Suite à une erreur, David est donc le père de 533 enfants. 150 de ces derniers souhaitent connaître l’identité de leur géniteur. En somme, sale semaine pour David...


Après avoir tenté de regarder la version originale québécoise, Starbuck (2012), je me suis assez vite tourné vers le remake américain, Delivery Man – je peux vous assurer qu’on ne comprend pas même un mot sur deux dans la VO. Le film, sorti en 2013 aux Etats-Unis, nous propose un casting assez intéressant : Vince Vaughn comme acteur principal, Cobie Smulders qui joue la petite copine et Chris Pratt qui interprète le meilleur ami looser et avocat de David Wozniak. Le remake est plutôt fidèle à la version québécoise. D’après ce que j’ai pu en voir, aucun travail de réécriture n’est à déplorer. Bien que Vince Vaughn ne soit pas au top de ses performances, on est loin de l’horrible interprétation qu’on lui connaît dans The Internship (traduit en France par Les Stagiaires). Les situations délirantes sont clairement au rendez-vous. David ne cesse de se mettre toujours plus dans la merde ! Si le film manque parfois de finesse, on se laisse facilement entraîner et certaines scènes sont même plutôt drôles. En conclusion, une bonne comédie bien conne à mater pendant les vacances de Noël si vous n’avez rien d’autre à faire !


Comments


À l'affiche
À lire aussi...

Archives

bottom of page