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Les 10 incontournables des westerns spaghetti


Nous vous proposons les incontournables de ce genre si particulier que constituent les « Westerns Spaghetti ». Mais lorsque c’est Tarantino lui même qui dévoile ses 10 Westerns préférés, là c’est le nirvana!

Le Bon, la Brute et le Truand (Sergio Leone, 1966)

Classique parmi les classiques, Sergio Leone signe ici son plus grand chef d’œuvre. Nombreux sont ceux qui ne jurent que par Le bon la brute et le truand restant sans aucun doute à l’apogée du genre, tant par sa réalisation, son scénario, son jeu d’acteurs, que par sa musique inoubliable d’Ennio Moricone. Les scènes cultes font légion, on n’en gardera qu’une ici, celle de l’arrivée dans le cimétière peu avant le final, à faire des frissons dans le dos !

 

> Extrait

Et pour quelques dollars de plus (Sergio Leone, 1965)

Autre grand classique de Sergio Leone, Et pour quelques dollars de plus met cette fois en scène Clint Eastwood dans la peau d’un chasseur de primes à la recherche d’un bandit dénommé « L’Indien » ayant pour projet de faire sauter une banque. Tous les ingrédients sont là pour un bon western spaghetti et on s’en délecte encore et encore.

 

> L’excellent duel final

Django (Sergio Corbucci, 1966)

Eh oui, pour ceux qui ne le savaient pas encore, Tarantino s’est inspiré d’un de ses westerns spaghetti préférés pour réaliser son dernier film ! Peut-être des souvenirs vous reviendront en visionnant des images de ce western aux allures un peu bas-de-gamme et pourtant très intense. On ne peut oublier la scène d’ouverture, Django trainant derrière lui un cercueil dans la boue dont on ne découvrira le contenu (inattendu) que lors de la scène finale.

 

> Scène d’ouverture

The Mercenary (Sergio Corbucci, 1968)

Dans The Mercenary, Corbucci nous entraîne en pleine révolution mexicaine. Les propriétaires d‘une mine victime d'une mutinerie souhaitent cacher sept tonnes d'argent. Ils embauchent pour cela un mercenaire, le Polak, réputé pour ses qualités de tireur. Une fois de plus la musique est sublimée par Ennio Morricone, que Tarantino reprendra notamment pour Kill Bill.

 

> La fameuse scène de l’arène

Il était une fois dans l'Ouest (Sergio Leone, 1968)

Sûrement l’un des westerns les plus célèbres, Il était une fois dans l’Ouest peut-être considéré comme l’oeuvre ayant démocratisé le genre à part entière. La tension est palpable dès les premières scènes et ce jusqu’à l’explosion finale. A voir et revoir, on ne se lassera jamais de ce far west à l’état brut.

 

> Duel final

Pour une poignée de dollars (Sergio Leone, 1964)

On retrouve encore le trio infernal Eatswood-Leone-Morricone. Deux bandes rivales se disputent la suprématie et la domination de la ville de San Miguel, au sud de la frontière américano-mexicaine. Un étranger, vêtu d’un poncho, arrive à dos de mulet dans cette petite ville et s’immisce entre les deux bandes. L’étranger (Eastwood) va très vite tirer profit des deux camps à la fois.

 

> Le duel final

Day of Anger (Torino Valerii, 1967)

Scott, fils d'une prostituée, est le souffre douleur de la petite ville tranquille de Clifton. Un jour, le pistolero Talby débarque et, en prenant la défense du jeune homme, tue un homme. Il est relâché pour légitime défense et prend sous son aile Scott, qui s'avère être un excellent tireur. Le maître et l'élève décident de se venger des notables de Clifton et prennent peu à peu le contrôle de la ville avant de s'opposer...

A noter que Tarantino a également repris la musique de ce film pour Django Unchained !

 

> Trailer

La mort était au rendez-vous (Giulio Petroni, 1967)

Enfant, Bill est témoin du meurtre de sa famille par quatre bandits. Quinze ans plus tard, il part en quête de vengeance. Durant ses recherches il croise le chemin de Ryan, un ancien escroc lui aussi aux trousses des bandits lui ayant volé son argent.

 

> Une scène culte

Navajo Joe (Sergio Corbucci, 1966)

Un autre thème principal d’Ennio Morricone que Tarantino reprendra dans Kill Bill 2 ! Le synopsis : Une bande de chasseurs de scalps attaque un village Navajo et dans le massacre, la femme de Navajo Joe est tuée. Joe pourchasse les bandits. Le final a lieu dans le cimetière des ancêtres de Joe...

 

> Trailer

Le retour de Ringo (Duccio Tessari, 1965)

Duccio Tessari, spécialiste du péplum, réalise ici en fait une adaptation de L’Odyssée d’Homère façon western spaghetti. Ringo est un Ulysse du far west qui règle ses comptes avec les prétendants de Pénélope en les abattant froidement.

 

> Trailer

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