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Les 10 Incontournables des films d'épouvante / horreur

Mettons nous d’accord, la peur étant subjective, ce top n’est pas destiné à concentrer des films qui vous terrifieront à coup sûr mais bien des grands classiques à ne pas manquer!

 

L'exorciste (William Friedkin, 1973)

 

Sans surprise, le film si contesté de Friedkin est le premier à nous venir en tête lorsque l’on aborde les chefs d’oeuvre du genre. Avec une recette approchant le demi-milliard de dollars et vainqueur de deux oscars, L’exorciste s’est très largement imposé comme LA référence en la matière. Copiées et re-copiées, les techniques utilisées par Friedkin ont fait grand bruit dans le monde de l’épouvante. La trame maintes fois reprise se base sur la possession démoniaque d’une jeune fille, dont la transformation physique progressive dépasse l’entendement. Même si les effets visuels ont certes vieilli, il surprendra toujours.

 

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Amityville II : Le Possédé (Damiano Damiani, 1982)

Une maison hantée : rien de plus banal me direz-vous. Oui. Mais ce second volet de la saga des films “Amityville” vaut vraiment le coup d’être vu. Le jeu d’acteurs et le scénario varié en font sûrement le meilleur de tous, même si le remake sorti dans les années 2000 est respectable. Pour les novices, la trame se base sur des faits réels s’étant produits à la fin des années 70, dans une maison qui fut le théatre d’un massacre atroce et toujours inexpliqué d’une famille nombreuse par l’ainé des enfants pris d’un accès de folie.

 

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La nuit des mort-vivants (Georges Romero, 1968)

De ce grand maître de l’horreur qu’était Romero est née la saga des “Zombies”. Comme pour bien des sagas, rien ne vaut l’original. Une fois de plus, l’oeuvre a vieilli mais le charme et l’âme propres au style de Romero sont toujours présents. Un cauchemar qui se répandra dans tous les esprits et qui fait appel à l’instinct de survie des hommes. Cette machine bien huilée fonctionne toujours, à voir et revoir.

 

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Massacre à la tronçonneuse (Tobe Hooper, 1974)

Autre film fait avec des bouts de ficelle et pourtant ayant également créé un véritable mythe, voici le premier opus de la saga des “Massacre à la tronçonneuse”. S'inspirant de faits réels, Hooper y relate la mésaventure d’une jeune fille et de ses amis qui s’aventurent dans le Texas rural profond et qui vont affronter un autochtone psychopathe (le fameux Leatherface) ainsi que sa famille cannibale. Petite anecdote : ayant tellement peu de moyens financiers pour réaliser le film, Hooper ne disposait pas d’effets sonores si bien que toutes les scènes de poursuite avec la tronçonneuse sont réelles, l’acteur principal s’étant coupé à plusieurs reprises durant le tournage…

 

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Shining (Stanley Kubrick, 1980)

Tout le grandiose de Kubrick tient du fait qu’il aura révolutionné chaque genre auquel il s’est essayé. Cela n’a pas raté avec Shining qui relève du génie en termes de maîtrise technique. Adapté du roman de Stephen King, on ne parle plus de maison hantée mais d’hôtel hanté, dans lequel une famille s’installe durant les mois hivernaux de fermeture afin d’assurer sa maintenance. Inutile d’en dire plus. Un chef d’oeuvre, un vrai, comme seul Kubrick savait en faire. A noter aussi que Nicholson signe ici l’une des meilleures performances (si ce n’est la meilleure avec Vol au dessus d’un nid de coucou) de toute sa carrière.

 

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Ring (Hideo Nakata, 1997)

Ring est incontestablement le symbole de la nouvelle vague nippone qui s’est imposée sur nos écrans à la fin des années 90.  Avec ses esprits importuns, son ambiance morbide, ses couleurs froides, bien loin des effusions classiques d’hémoglobine et sa mise en scène si subtile et maîtrisée, ce film a sans conteste bouleversé le genre. La mort est omniprésente, quasi palpable, et cette sensation submerge un public angoissé dans l’attente de la prochaine scène qui le fera sursauter. Les remakes sont bons mais pas à la hauteur de l’original.

 

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La colline a des yeux (Wes Craven, 1977)

Encore un mythe bâti avec rien ou presque grâce au talent d’un grand maître de l’horreur, Wes Craven (créateur des sagas “Freddy” et “Scream”).  Cette fois-ci l’intrigue se déroule en plein désert, proche d’une ancienne zone d’essais nucléaires, dans lequel va se perdre une famille partie en vacances. Ils vont alors avoir affaire aux autochtones tous atteints de graves problèmes dûs aux essais nucléaires, les ayant rendus difformes et assoifés de sang. Pour une fois, le remake de 2006 réalisé par le Français Alexandre Aja est très bon!

 

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Projet Blairwitch (Daniel Myrick, 1999)

De tous les précédents, le fillm de Myrick se distingue du fait qu’il ne se base que sur notre imaginaire. En effet, la trame est simple, mais c’est la manière dont elle est portée à l’écran, en utilisant la méthode de la caméra embarquée, qui fait toute la force du film. Trois jeunes étudiants partent tourner un reportage sur la légende d’une sorcière vivant dans une sombre forêt américaine. On suit alors les aventures et notamment les nuits mouvementées des personnages au travers de la caméra de l’un d’eux. Jamais un seul être étrange n’apparaît à l’écran, tout passe par le son. Cela donne une dérangeante liberté au spectateur de s’identifier et de faire des liens avec ses propres peurs et pires cauchemars.

 

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Rosemary's Baby (Roman Polanski, 1968

Les Européens eux aussi savent faire de bons films d‘épouvante! La preuve avec de chef d’oeuvre un peu moins connu de Polanski. Ambiance glauque, huis clos, acteurs époustouflants, une recette qui marche. Difficile de parler de l’intrigue sans tout dévoiler. Sachez juste que la progression dans l’épouvante est parfaitement réussie et bluffante.

 

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Suspiria (Dario Argento, 1977)

On termine dans la lignée des vrais films d’épouvante des années 1970 ayant marqué par leur originalité. Suzy, une jeune Américaine, débarque en Suisse pour suivre des cours dans une académie de danse prestigieuse. A peine arrivée, l'atmosphère du lieu, étrange et inquiétante, surprend la jeune fille. Et c'est là qu'une jeune élève est spectaculairement assassinée. Le cauchemar ne fait qu'empirer : le pianiste aveugle de l'école meurt à son tour, égorgé par son propre chien....

 

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Une fois encore, cette liste n'est pas exhaustive et omet sans aucun doute de nombreux chefs-d'oeuvre. A vous de nous faire part de vos impressions et recommandations cinématographiques ! 

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